Palestra na Universitè de Lille na França
MNM falou aos franceses sobre as questões jurídicas envolvendo grandes eventos desportivos internacionais.
EN ESPAÑOL
Lea artículos escritos por Martinho Neves Miranda en español
Currículo
Con una fuerte presencia en el mundo jurídico, trabaja en las áreas pública, privada y académica.
Sector público
En el sector público comenzó su carrera como Procurador del Banco Nacional de Desarrollo Económico y Social – BNDES, trabajando en las áreas de contencionso y privatización.
Habiendo sido aprobado de forma simultánea en los concursos del Ministerio Publico del Trabajo, Procurador de la asamblea legislativa de Rio de Janeiro y Procurador de la Ciudad de Rio de Janeiro, optó por trabajar en esta última institución, órgano en que aún labora hoy en día.
Como Procurador en Río, entre otras experiencias, fue el jefe del Departamento Jurídico de la Secretaria de Administración . También dirigió la asesoría jurídica de la Secretaría Municipal de Deportes y Ocio, Cultura y Turismo.
Fue el coordinador juridico de la candidatura de Río de Janeiro para los Juegos Panamericanos de Río 2007, de la candidatura olímpica para los Juegos Olímpicos de 2012 y asesor jurídico de los juegos de 2016.
Sector privado
En el sector privado, fue consultor juridico del Estúdio de abogados “Câmara y Marin” y Jefe del Departamento de Derecho del Deporte de CMARTINS Abogados.
Actuó como abogado del Clube de Regatas Vasco da Gama y ha abogado por Clube de Regatas do Flamengo. Ocupó el cargo de Director juridico de la empresa “Euro Americana – Marketing y Servicios Deportivos” .
Actualmente aboga para grandes equipos del fútbol brasileño, como São Paulo Futebol Clube, Associação Chapecoense de Futebol, Joinville Esporte Clube, entre otros. Es tambíen Director jurídico de la Asociación Brasileña de Entrenadores de Fútbol.
Mundo académico
En el ámbito académico tiene Postgrado en Derecho del Deporte y Maestría en Derecho por la Universidad UNESA. Fue profesor de la Universidade Veiga de Almeida, del Instituto de Desenvolvimento Empresarial, et ha coordinado el Curso de Postgrado en Derecho Deportivo de la Universidad Cândido Mendes / RJ.
Ahora coordina el curso de Postgrado en Derecho Inmobiliario de la Asociación Brasileña de Administradores de inmuebles – ABADI y enseña Derecho Civil en la Fundación de Estudios Marítimos – FEMAR y Derecho del Deporte en la Faculdade Hélio Alonso- FACHA.
Es Profesor Visitante de derecho deportivo en la Universidad de Lille en Francia, donde enseña en el curso de Master Internacional en Administración de Deportes.
Es miembro del Comité de Estudios Jurídicos del Ministerio de Deportes y se unió al panel de jueces de la Ley de Incentivos del Gobierno Federal. Es integrante del Consejo Editorial de la Revista de Derecho Deportivo.
Es el autor del libro “El Derecho en el Deporte” por la Ed. Lumen Juris, que se encuentra en la 2ª edición y ha publicado varios artículos académicos.
Es periódicamente invitado para dar conferencias, entre congresos nacionales e internacionales de Derecho Civil y Deportes
Especializaciones
Derecho Civil y Derecho del Deporte
El Dr. Martinho Neves Miranda habla Inglés, francés, italiano y español.
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LE RACISM DANS LE SPORT
Écrit par Martinho Neves Miranda
Peu après le début de ‘’ l’ÈRE des DÉCOUVERTES ”, les Européens ont constaté la diversité des cultures et des groupes ethniques entre les peuples.
Une conséquence de ce contact est que certains ont commencé à idolâtrer ou répudier les cultures auxquelles ils ne s’identifiaient pas, ce qui a conduit Levi Strauss à appeler ces deux mouvement de “fascination” ou “refus” de ‘’l’autre”.
L’idéologie du «refus de l’autre » méprisait et méprise encore tout ce qui n’est pas compatible avec un modèle de culture préalablement choisi par ceux qui pratiquent la discrimination.
Et le racisme constitue l’aspect le plus répugnant de cette façon de penser, en prônant que la formation anatomique et physiologique des personnes permet à certains d’être plus «humains» que d’autres.
Mais précisément le sport a été l’un des segments précurseurs de la diffusion de cette théorie absurde.
Ça suffit de voir que Hitler a essayé démontrer pendant les jeux en 1936, la suprématie de la race aryenne …
D’ailleurs, le nom même de «racisme» est une contradiction dans ses propres termes, une fois que la biologie et la génétique disent à l’unisson que les différences ethniques entre les humains ne produisent pas d’autres races dans la seule race qui est le “homo sapiens”.
Le fait est que, après une période d’oubli apparent dans la seconde moitié du XXe siècle, la xénophobie ressurgit à haute échelle dans le XXIe siècle, devant la crise économique mondiale, accompagnée d’un chômage élevé.
Son impact sur le sport a été immédiat, car ce segment, plus que tout autre, crée des contacts entre les composants de différents groupes ethniques, classes, origines et religions.
Et l’extériorisation de ce préjugé dans le sport est present dans les gestes, les chants et les insultes par les fans dans toutes sortes de stades, de champs et de cours.
Cependant, la chose étrange est que ces actes sont commis avec une particularité: ils s’adressent principalement aux athlètes adversaires, même si les fans savent qu’il y a des sportifs de différents groupes ethniques dans leur propre équipe.
Le résultat de cette observation est que la discrimination raciale est utilisée dans le but spécifique de déstabiliser émotionnellement l’adversaire, afin d’obtenir un avantage injuste dans la compétition, ce qui rend le racisme dans le sport encore plus grave.
En effet, ce comportment équivaut aux pires et plus répréhensibles moyens illicites d’obtention d’un avantage sportif comme le dopage, la corruption, la fraude, les menaces, etc.
N’oublions jamais que les grands gagnants ont basé leurs victoires sur leur talent. Et surtout sur l’effort personnel: la persévérance et la détermination qui conduisent les gens à se battre sans relâche pour la victoire.
La leçon que nous apporte cette réflexion est la suivante: Jamais la recherche de la victoire doit être à tout prix: principalement par le racisme.
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FIFA, FBI ET LE MOSTRE DE LA CORRUPTION
FIFA, FBI ET LE MOSTRE DE LA CORRUPTION
Écrit par Martinho Neves Miranda
Un scandale des dimensions d’un monstre. Et cette fois sans mythologie, folklore ou légendes. Les accusations portées par le FBI contre plusieurs dirigeants de la FIFA, ont donné les couleurs d’un régime terrifiant de corruption.
Mais peu sont conscients du fait que, aussi important que punir, c’est de travailler pour que cela ne se reproduise pas.
Et pour ça il faut déterminer les conditions qui ont conduit à l’éclatement de ce régime dénoncé par le FBI et qui a étonné la communauté internationale.
Le naturaliste français Jean-Baptiste Lamarck, a été le premier à proposer, au début du XIXe siècle, une théorie de l’évolution biologique.
Il a dit que l’environnement provoque des êtres vivants à façonner leur propre corps pour s’adapter à cette réalité. Ainsi, par exemple, le cou de la girafe avait augmenté par la nécessité d’atteindre les hautes branches des arbres; la chauve-souris avait ses yeux atrophiés à cause de l’absence d’exposition au soleil, etc.
Si sa théorie n’a pas expliqué complètement le phénomène de l’évolution, elle sert bien à comprendre le scandale de la FIFA, parce que l’environnement dans lequel les institutions sportives se situent crée le «habitat» favorable aux délits, à commencer par la manière de la gestion et du contrôle de ces entités.
En fait, gerés comme des associations sans but lucratifs, elles agissent sans les contrôles internes et gouvernementales propes aux sociétés commerciales.
Mais le scandale de la FIFA a révelé toute la distance entre ces entités et le but non lucratif. Puisque la contribution de leurs membres ne suffit pas à assurer leur survivance, elles opèrent dans le monde des affaires et aliènnent les droits deEn effet, les fédérations sportives internationales se sont accordé des pouvoirs exclusifs d’organisation et réglementation du sport qu’elles représentent au niveau mondial.
Elles ont un seul interlocuteur par continent et un seul interlocuteur par pays et ils détiennent des droits exclusifs d’organisation du sport dans ces zones géographiques.
Autrement dit, le sport fonctionne sous le régime de monopole aussi bien au niveau national qu’au niveau international.
L’ambiance est donc favorable à ce qui est arrivé: sans surveillance et avec un immense pouvoir de monopole, les hauts dirigeants, selon le FBI, ont été impliqués dans des fraudes concernant l’octroi de droits dont le propriétaire unique est la FIFA ou de ses filiales.
Si les charges de FBI sont confirmées on sera donc devant un sujet qui n’a rien à voir avec le sport: une violation de la loi antitrust, avec le mépris du principe de la libre concurrence.
Et ce scandale porte un coup fatal à l’ancien argument selon lequel ces entités ne devraient pas être vérifiés par l’Etat du fait ’’d’être autonomes et d’être le sport une affaire éminemment privée.«
Une objection tout à fait dépassée, car il ne s’agit pas du tout sur le sport et en plus ceux qui agissent sous le monopole doivent être soumis au contrôle du gouvernement afin d’empêcher les entités monopolistiques d’abuser de leur «position dominante».
Et ce n’est pas par hasard que les enquêtes ont été menées par les Etats-Unis, car il est précisément dans ce pays que les premières règles antitrust ont surgi, avec la loi « Sherman » de 1890, qui a inspiré le monde entier à créer des lois qui préservent la libre concurrence et empêchent la réalisation des fraude sur les marchés.
En outre, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas d’intérêt public lorsque les chiffres astronomiques sont impliquées, parce que là où il y a beaucoup d’argent le risque de délits financièrs augmente.
Ainsi, cet épisode ne peut pas servir seulement à faire que les coupables soient punis. Il est nécessaire de créer des règles et mécanismes de contrôle aussi bien au niveau international que dans les domaines du droit interne de chaque pays.
Car, comme le dit Lamarck, “si les organismes progressent selon l’environnement» et si rien ne se fait préventivement, de nouveaux systèmes continueront à créer des Draculas ou des Franksteins de la corruption, plutôt que des simples chauves-souris ou des girafes …